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Monsieur.

Si та lettre, que j'eus l'honnenr de vous 6crire il у

аита plus de trois mois et que m-r Santini те соп-

seilla d'adresser m-r le marquis Maruzzi, пе vous

serait pas parvenue, је dois vous paraftre certaine-

meni bien coupa.ble, et dans cette supposition је пе

mbriterai pas ces reproches obligeantes que vous avez

еи la bont6, monsieur, de m'adresser dans vos dernib-

res lettres m-rs Santini et Hackert et dont је vous

suis infniment redevable. Ма reconnaissance et топ

respectueux attachement роит vous, monsieur, dure-

ront autant que та vie, et si vous youlez bien c.onti-

пиет de m'honorer de vos ordres, vous pouvez bien

6tre persuad6 que је les ex6cuterai de топ mieux et

que је пе les n6gligerai jamais. Dans susdite та let-

tre 6gar6e ои retard6e j'avais entre autres еи l'hon-

neur de vous rendre• compte, monsieur, de celles аи—

prbs de Pichler, qui jusqu'alors ои trop оссирё, ои

n6gligeant, ои malade тёте, n'avait jamais encore ехб—

cut6 les t6tes de Bachus et d'Ariadne dans vos denx

sardonyx que vous lui aviez laiss6. Mais сотте је n'ai

jamais cess6 de renouveller mes instances auprbs de

lui, il les а enfn flni, et је les ai remis m-r Santini,

qui пе manquera pas de vous les exp6dier incessa—

ment. Dans la dite та lettre, si elle vous est parve—

пие, monsieur, vous auriez aussi trouv6 ипе d6clara—

tion de m-r Amaduzzi et ses excuses par rapport