Письы нь графу А. Р. Ворощову.

Це discours le plus Ьеад serait bien superflu et tou-

tes les d6monstrations seraien.t. igutiles роит confrmer

ипе v6ritb qui .est 6vidente d'.elle-meme сотте le so-

leil, lorsq.ue.les choses .memes attestent аи de

toute. expression. Се serait donc еп vain que de se bor-

пег Uremarquer l'un aprbs l'autr.e les services que la

nation. Grepque а rendu toute occasion l'empire

Russe; puisque personne n'ignore quand et comment

сеце nat.ion, e;qitbe quelqu.efois ракс l'espoir de тес,ои-

vrer la libert6 qu'elle ava.it perdue et дадпбе par les pro-

messes des gipg5raux ru;ses, cqmmp la nation la plus

fidble par la confor,mit6 du rit et de [а religion, s'6tait

ent,ibrement voube son service, .dont l'exemple le

plus recent est cette guerre.

N.otre- but n'est donc que. роит d6montrer. bribv.e-

ment les justes motifs qui ont contraint m-r le colo-

пе) et chevalier Lambro Cazzioni, po.mmandant la flot-

tille imp6riale dans la M6diterran6e, aussi bien que sa

nombreuse suite de militaires Grecques, qui forme ип

corps respectable et repr6sente les anciennes moeurs.

de se plaindre de сеих qui les ont pr6judici6s injuste-

ment; c'est pourquoi qu'il est n6cessaire d'avoir ип •