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de repos ой оп peut le voir: il s'en suit que сеих qui
n'ont pas des afaires indispensables traiter cessent
d'y aller. Avec tout cela оп пе peut pas lui disputer
des talents et connaissances rares dans sa patrie. Ј'а-
vais voulu dans le commencement que votre frbre et
lui avaient 6t6 plus li6s; mais је crois que la pr6di-
lection (naturelle) de votre frbre роит le c-te kot.schou-
bey aura inspir6 l'autre quelque m6fance ои jalou-
sie. П est, је crois, trbs еп cr6dit avec le Maftre, mais
pas exclusivement. Votre frbre est consult6 sur toutes
les choses importantes; тёте j'ai entendu qu'elles sont
discut6es аи Conseil. Mais, pour vous dire la v6rit6,
топ cher ami, је suis si lasse, si d6g00t6 de tout се
qui est politique, ј'у vois tant d'incons6quences, tant
de fausses mesures, que је m'abstiens de m'informer
de tout plein des choses que је pourrais savoir. Mais
роит се que vous те dites d'une partie de la пбдо-
ciation actuellement pendante avec la France, је crains
que cela а origin6 de quelque influence cach6e ои plu-
tOt de la complexion particulibre du Maitre, qui veut
que tout le monde soit еп paix, qui est le plus hon-
n@te homme du monde et qui est influ6 раг la morale
de particulier beaucoup plus que par les raisons d'6tat
de l'homme public. Cela donne belle prise сеих
de la vieille 6cole, qui se disent les seuls bons Russes,
qui pr@chent que la Russie doit s'isoler. Је suis aussi
de cette opinion; mais c'est еп isolant son ind6pen-
dance et pas еп se laissant berner par la Prusse et
la France.
Votre frbre reviendra ici, топ cher comte; il est
parti еп bonne humeur et пе parlait plus si d6cidem-
ment de sa retraite. Роит votre fls, је пе реих