Mais је sais que vous avez des amples d6tails sur son
plan de passel' l'6t6.
Le petit отаде subdois а fait ип bien: il а fait ces-
ser tout le comm6rage et raisonnement sur les ?dtases
relat
tend plus parler d'aucune innovation ma.rquante. Il у а
ип autre orage qui doit int6resser tout le monde, nous-
m6mes7ici, s'il est vrai que lord Whitworth а quitt6
Paris, сотте оп dit aujourd'hui. Је suis trbs топ
aise sur Топ de voir et sur les principes du mi-
nistbre et тёте de public de се pays-ci. Mais је
vous avoue que је n'ai pas реи de crainte que toute
l'innuence de la Russie (qui doit 6tre pr6pond6rante)
пе soit paralys6e par des pr6dilections et des pr6ven-
tions qui doivent tout homme raisonnable paraftre
inoroyables. Је suis fAch6 d'appeller ceci injuence (t.ni-
male; mais оп пе peut pas la qualifer autrement, et
les диеих des P-ns *) savent combien il est diffcile de
l'efacer et comptent lbdessus. Је sais que vous те
comprenez. Pour nous gu6rir de cette maladie, је пе
vois rien qui ofre quelque esp6rance qu'un tableau
v6ridique de notre humiliation, pr6sent6e indirectement
et de dehors le pays, саг nous sommes trbs-sensibles
аи rtd,iculum.
ll est arriv6 ип саз qui а donn6 de relief Sa Ма-
jest6 1'Imp6ratrice-mbre.• Son fls le grand-duc Соп-
stantin lui а 6crit ипе lettre, demandant permission
de se di#orcer. La lettre 6tait assez bien faite et fut
envoy6e le jour qu'elle devait donnei ип grand bai
dans la semaine de PAques. Cela pesant sur le coeur,
• ) Prussiens.