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Сс 31 de mai 1804-

Notre, r6v6rend pbre m-r Pitt, partant роит l'Angle-

terre, је пе реих pas m'empdcher, топ trbs-cher сот-

te, de vous 6crire quelques lignes роит la dernibre

fois probablement avant топ d6part. Је vous ai 6crit

deux fois par les courriers russe et anglais. Depuis

.que j'ai еи quelque nouvelle de vous, quand је vous

ai marqu6 tout се que је croyais pouvant vous int6-

resser, depuis се tems il n'est pas arriv6 la moindre

пиапсе du changement dans la position de la соит ои

еп quelque partie du ministbre. Vous serez inform6

mieux que је пе реих le faire de tout се qui s'est

pass6 entre notre cabinet et се gouvernement топ-

strueux, qui par la force ои par la frayeur opprime et

subjugue tout le reste du continent. 1l faut rendre jus-

tice notre publique ici: оп еп est indign6 jusqu'aux

basses classes, qni еп savent les circonstances, et la

partie pensante пе voit autre тоуеп de salut роиг la

communaut6 de l'Europe qu'une guerre entreprise

sur les plus lib6raux et grands principes. Је crois le

јеипе homme qui marque le plus *) d'6tre tRs-port6 роит

ces id6es; mais пе croyez pas qu'il peut op6rer аи-

delb d'un certain point sur le Maftre, dont la nature

пе permet pas .ипе grande, 6nergie dans ипе certaine

carribre et qui est retenu тёте par son frbre, dont

Т. е. вназь П. Б.