мо

avec lui, il lui а fait voir t,out son d6voue-

ment la personne de В.: il le croit ип demi-dieu.

Vous jugez, топ cher comte, que tout ceci est calcu16

le culbuter la longue. M-r N—w et le јеипе Stro-

gonow qui (avec vous et votre frbre) ont le plus соп-

tribu6 de faire sa fortune, sont chang6s envers lui to-

talement, et le voyent avec la тёте sensation que

vous regarderez ипе prise d'ipe;cacuanu. Ceci пе pro-

vient de quelque pr6dilection ропт quelque autre, mais

c'est le d6veloppement de son propre caractbre qui а

produit cette aversion. La bonne femme est vbritable-

ment plaindre; car, nonobstent t.oute sa tendresse

pour elle (qui est vraiement extr@me et qui те fait

lui pardonner ипе multitude de ses fautes), il est im-

possible qu'elle пе soufre avec intensit6 de. ces рет-

cussions ingrates, qu'elle пе voit que ses dekraisonnements

hardis inligent trop souvent сеих qui l'6coutent.

Је vous 6cris tout ceci, топ cher comte, dans la соп-

йапсе et тёте j'exige de vous que vous пе le re16-

verez pas et que vous пе toucherez pas cette corde

votre arriv6e; сат vous pourriez faire .du та]

sans le vouloir. Mais роит de bien vous пе pouvez

pas le faire: error est in coitione. Је vous ai dit autant,

afn que vous пе travaillez pas dans les t6n&bres. Оп-

tre tout се qui est relatif sa propre personne, је

dois vous dire се que vous croirez ais6ment, que

toute sa conversation avec le Maftre est calcu16e

l'610igner des mesures activites externes. Il а peur

que la 10tte пе soit pas appel16e еп act:ivit6. Се n'est

pas par notre flotte que nous et l'Europe devons etre

sauv6es. Votre frbre paraft, aprbs six mois du travail

suivi, avoir r6ussi d'0ter notre Maftre des mains des