Ш.

0snabruck, се б novembre (1805).

Моп bien cher comte, j'ai 6t6 quelques jours sans

vous 6crire, et cela parce que је n'avais pas de nouvelles

de vos messieurs vous donner. Enfn ils sont tous

les trois ici; mais, ciel, dans quel 6tatl khrapowizki

sourd et couvert d'empl&tres, Narischkin avec ипе 6r6-

sipble, Barotzy fatigu6 et env6r016; vraiment c'est ип

plaisir de les voir. Aussi пе т'еп priverai-je pas de

si t0t: ils restent ici pour se refaire et se gu6rir. Је

les nourrirai bien et еп aurai soin. Је vous envoye ипе

let.tre de L60n, qui vous mettra аи fait de ses hauts

faits et de се qui se passe еп Hollande. Је voudrais

encore vous 6crire, mais је suis d'une colbre 6pouvan-

table contre mes plumes: c'est, сотте si le diable s'en

m6lait; је пе puis 6crire et vous embrasse du fond de

топ coeur. Constantin *) est avec moi et те charge de

le rappeler votre souvenir. Votre portefeuille а fait

tourner et retourner toute maison et tous les efets de

mes messieurs; оп а trouv6 qnelques chemises, quelques

mouchoires v016s, mais pas votre portefeuille. Dites

Ars6niew que s'est impardonnable lui d'@tre si пё-

gligent et qu'Anrep dit qu'il п'еп est pas 6tonn6 et

qu'il craint qu'Ars6niew пе se perde ип •jour lui-meme.

Il faut n6cessairement que j'avale ип verre de, rhum.

0) Младпйй брать графа Бенкендорфа.