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S-t P6tersbourg, le 20 aoat 1842.

Отв. 21 Октября.

J'6tais d'autant plus pein6, cher comte, de пе plus

vons tronver ici que j'ai vu que si j'6tais revenu аи

terme .qub је те propo•sais, је vous aurais trouv6

P6tersbourg; j'aurais ри vous embrasser et vons voir

encore ип јопс ои deux. Моп retard est venu de саи-

Ees ind4endantes de та volont6: car, arriv6 Reval

ОпсоЬе 31' juillet, j'ai d0 т'у arreter, c'est-h-dire

ehtre: Reval et Fall 6 du courant, tant pour

pr6sentgr тев hommages madame la Grande-Du-

chesse que pour revenir d6jh ensemble sur le kamt-

chatka Benkendorf, qui de son c6t6 а acc6l6r6

d6• deux oti trois jours son retour роит profter de

i'6ecasion. Ое qui те console dans cette circonstance

c'est cette acc6ldration pour Benkendorf а 6t6

Типе immense utilit6. Une attaque, qu'il а еие le len-

d6main de son arriv6e de P6terhof et dont. Arendt l'a

tir6, lui aurait pent-0tre 6t6 fatale s'il l'avait еие

Fdll, grace l'ineptie et l'amour-propre d'un petit

m6dedin.• qu'il• avait avec lui, qui l'a laiss6 trois se-

maines •constip6,• пе faisant rien de се qu'Arendt lui

afait piescrit pour Benkendorf. et 6tait r6soln de пе

lui dbnner аисппе' purge. А pr6sent Benkendorf va

beaucoup mieux, mais il est toujoors faible et s'est d6-