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les plates.bandes. Ј'у serai bien isol6 сев 6t6;, • сар

vous saurez, топ cher eomte, que j'ai 6t6 0blig6 d'en-

voyer та femme аих еаих. Le malheur si inattendu

dont nous avons 6tS frapp6, avait port6 sa. sant6

ипе bien cruelle atteinte; elle 6tait anbantie аи moral

сотте •аи physique; il а fallu l'arracher .des .lieux

ой tout lni .retraqait le souvenir de la perte qu?elle

venait de faire. Ое but elle l'atteindra par les distrac-

tions du voyage, et les еаих de Marienbad influeront

sur le principe de la• maladie, qui est h6r6ditaire dans

la famille Gourief et qui,nous а enlev6 топ exgellente

belle-soeur. J'6tait s0r, топ cher comte, que vous la

regretteriez. Vous lui aviez t6moign6 tant d'am.iti6 et

d'int6r6t l'occasion de la terre de Crim6e que nous

allons administrer роит les pauvres orphelins. Еп qua-

lit6 de tuteur, је vous demanderai d'accorder аих еп-

fants la тёте sollicitude роит се petit manoir que

vous avez t6moign6 la тёте.

J'ai aussi vous remercier роит l'accueil fait аи

mar6chal Marmont,• сат sous vos auspices, il emportera

ипе bonne id6e de notre Midi et de notre belle Crim6e,

et сотте il est bienveillant роит nous, il contribuera

d6truire les fausses notions que nos ennemis cher-

chent partout accueillir et r6pandre sur notre

pays. Personne sous се rapport n'est plus cr6dnle que

Palmerston, et c'est sur les fanx rapports d'nn Jeanus

ои de се brouillon de lord Ponsomby qu'il juge пов

vues et nos intentions. Depuis quelque temps сереп-

dant il •nons laisse tranquille et пе nous adresse plus

de ses interpellations sur les afaires de l'Orient. Аи

reste, cette guerre diplomatique qu'il а епдадб avec

nous l'a couvert de ridicule еп Angleterre тёте et

encore аих уеих de ses propres col16gues, qui