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S-t P6tersbourg, le 25 juillet 1834.
Моп cher comte, је suis encore votre d6biteur, et
сотте је n'ai pas le principe de Figaro qu'il vaut
mieux devoir toute sa vie que de nier ses dettes, је
tacherai de т'еп acquitter aMourd'hui et vous don-
пет ипе r6ponse sur deux afaires que vous avez peut-
6tre oubli6es d6j& vous-m6mes. Il s'agit 1) de certain
diff6rend qui s'est 6lev6 dans la famille Ipsilanty, 2)
la demande d'un prince Arckoudinsky-Dolgorouky d'en-
trer dans notre d6partement et 6tre attach6 votre
personne.
Quant la premibre afaire, la note ci-jointe vous
prouvera que је т'еп suis d6jh оссирё, et vous indi-
quera la part que топ ministbre peut у prendre. ln-
tervenir plus directement dans ипе contestation entre
particuliers dbpasserait la sphbre de mes attributions.
Mettre d'accord des membres d'une famille grecque
n'est pas chose ni facile, ni agr6able. Quelque soit
donc l'int6r6t que m'inspirent les maris de ces deux
dames, је n'aimerais pas trop те m6ler de leurs afai-
res, quand тёте ј'еп aurais le droit. Је suis str.,
топ cher comte, que vous partageriez се sentiment
et cette r6pugnance. Mais, еп •revanche, је те ferai
ип vrai plaisir de rbclamer еп leur faveur l'appui de
m-r Dachkof*), si ces deux dames пе parviennent pas
s'arranger l'amiable.
Је пе demanderais pas mieux поп plus que de d6-
f6rer аи voeu que vous m'exprimez l'6gard du prince
Dolgorouky-Arckoudinsky. Mais voici d'autres diff-
* ) министръ Д. В. Дашковъ. П. Б.