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4»inistne organise;a qui fait l'essence de son gouvernement, la (lis-

10ition des moyens hostiles (le l'Italie, de [а Suisse, l)a-

летагсК, (le la Stl'b(le, Де Аа Pologne et (l'un tiers Де l'A11e-

тадпе, suppose3 тпгте ине l'Autriche пе s'unisse point avec hli,

ч.не le blit Ле la диегге est l'afrancllissement de l'Europe, chose

!ineonpatible avec son existenc“. пе suffit donc pa.s (l'blever

нпе (Идне fragile contt•e 1es efforts (Гапе aussi redoutable puis-

tnais (le [а nwis de briser пп instrurnent (le

«lestr•nction nniverselle, si Гоп пе vellt point (>tre broye3 рас

tes etfets ntonvetnent acc"lbrb, hnprimb ses ressort.s.

1,es forces nbcessaires ces opbrations sevaient: ипе

«entrale et agissante (le 80 100 rnille hommes t0Ht ап plus:

пп corps де 30 40 mille 11011ltnes ропт• тпепасег Galicie

•et la Hongrie simultanbment avec 1es fl'urcs, (lans le cas 0il

l'Aut"iche Hlbconnaitrait ses yt•ais intbrOts: ронг obsevver cette

риккапсе «lans l'hypotlld•se Ле sa neutralitb, он (3tre plns Htile-

шетН. etnp10yA dans celle (le son accession. ни (le 20 mi11e

bornmes, auxiliaire (le la Prnsse: (lell.\ ar111(kes de 1'(3serve «le 40

[пе exp&lition (Ае 10 mille horntnes vers \aples, ипе seconde

.03Hlbinbe avec les Anglais contre [а l•'rance, occupant. пп notIlhre

41e tj•oupes (Sgal он plus si 1'Atltriche prenait part

1а Iigue (voyez VI, 18), 20 30

Hiille hommes ен

garnisons, catnps H)lants, escortes Ле convois. etc.: еп totlt de

230 320 111ille homIljes, 283 H'ille

hontntes tertne

tnoyen, у Ies troupes pionniers, artillet•ie. etc.:

forces tA'S injposantes, 'tnoique intillitnent inti>rieures celles

possi•de Ia l{ussie, et (l"i, sagernent (lirigbes. sont suftisantes

-•lans Те cas .oil l'Atlh•iche пе pmfiterait ра,к (les circons-

'tanees ронг .affranchir sa сонгопве: саг la France пе pourrait