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qui sont conf(ies les sonnnes qtl'on у destine, les mettent
(l'ordinaire (lans leurs lThes. mais l'opinion, [а bassesse оп Ia
crainto у ont souvent supp16(•. La premibre (loit (3tre us6e la
snrveillance et des o.xemples sbvi•res potu•raient 6tre ernploy6s
contre los antres.
Enfn, qaoi(llle 10 Francais soit bravo. оп а (lans
rnoi - тё!пе. чие tel offcier qui
cette диетте, et је l'ai vu
s'Ctait (Чен; рау sa valeur,
aller ]'еппепй quand
sa fortune 6tait faite, ои
qu'il n•ospbrait plus de l'accroitro.
et que soldat, (lont les ()Hiciers devenaient tilni(les. le deve-
naient eu.x-lll(irnes ои passaient l'e.xtlf•rne contraire et бда1е-
mont funeste (le l'insubordination. Cos (l(isorlros n6anmoins
n'(ktaient .iaunais contagieu.x sous пп chef actif, сат les пштипиге.ч
conttv les chefs sont faciletnent distraits рат (les тои-
ventonts lk.n•pbttwls et l'ardeur rani:nbe, аи soldat пе
plus qu•avec son sang. Mais si оп parvient le r6duire ипе
lnngtu• inaction. сопппе ses otfciers h la porte de leurs ему;-
rances. l'eHFrvescenso de .коп esprit tourner contro coIui
(1(Ii le gouverne: саг. n'ayant аисипе (les idbes f.xes
et stables. letn• setIl point (le vt10 est la (le letu• existence
acquiso. la crainte аи
IIl6pris et collo (le paraitre Hetris пот
(h• traittws 1а patrie.
Si tactiqtte des armbes frangaiws est tuAliocre. la stra-
tt\gie tle ses допт•ап.х et celui qui les «lomine est prosque
nnlle. Ces rnouvelltents Hancs. ces rnarches 0bIiques. ces тои-
ve:nents &hellon sur ипе vaste 6chelle. ces forntations
*intples et rapides раг ип droito оп ип gauche. dont FI+-
«lt\ric le Grand tira tant d'avantages. leur M)nt pr«sque 6tran-
Et cotte marche сопсепипчие sur (;гга аи (16but (le la
гаичьадпе ет а for•! exalt«;. пеп (Те пеиТ. п;
Р. Elh• la диетге •le 1710
раг h•• (le Saxe et de
е t!ll et nw»uve-
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