des П, YIIIet IX du ум;-

tique et militaire sur les circ,onstances p%entes.

l,'oljet

nlbmoire ci-dessus btait (le (lbmontror

que .Xap0160n 1'011lait dCtruire l'Europe et parti—

ctllid•rernent Rus.•sie, чие ralnbition. la nbcessitb 1' у

poussaient 6galement, que lo sa nation, la natut•e

arrnbe, la cupidit(• de ses soldats, l'esperanco tr6ne

oferte ses g6nbrau.x, l'oubli de tous les princ.ipes (lu (lroit

de la guerre et (les gens, la constitution civile et Hlilitaire de

son Ernpire, les forces innnenses, dont il

dispose, la terreur

g6nCrale qu'il а inspiree. hIi еп f6urnissaient les rnovens.

Que la gnerre, hli faire, (levait avoir роит but le brise-

sion instantan6e de ses solides ressorts, сат celle-ci пе ferait

qu'aiourner (les rnalheurs sans r•essoarces. (lont celui-li afran-

chirait, sans retour.

(Ине. le ]поуеп de parvonir cet ntiIe rbsultat serait de

profter des circonstances favorable.s, fournies рат l'Espagne.

роит f6rcer Napol(on ип d6veloppenwnt (le f6rces sup(rieures

ses rnovens militaires. et (le le mettre еп тёте tenrps et

dans la n6cessitO d'bpuiser ses fnances et hors d'6tat (l(•. les

rbparer nmrnentan6ment рат мк; brigandages accoutumbs.

Qu 'il пе faut pas se reposor uniquement ропт sa propre stret6

sur l'emploi de ses forces аи llli(li: сат il peut еп se concentrant

stu• l'Ebre, еп porter la plus gran(le. masse аи nor(l, ot i

raide (le ses 15 20 millions de Slljets Allemands, еп venir

arracher рат la victoire les t.roupes n6cessaires la conqtuite

de l'Espagne.

Que ces considbrations rekunies exigent ипе guerre faite

la fois sur plusieurs points tres les uns des autres:

mais snrt0!lt ипе guerre [опдпе et sans 6clat

днегт•е. l'offensive et (lbfensi«• seraient cotllbinbes (le ит-

нпч•е satisfaire анх principes raltraient fait

сопнпе saisir.

le 1)lIt s'v serait propos$,

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