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Ainsi que је l'ai dit plus haut, nul EuroNen пе рё-

Мга daM la biblioth

оп у виру— raiwn l'existence d'un d$t curieux

de livres erm6niens, mais .nul yisiteur 6tranger avait

ad", Fut'6tre тёте реи de religieux рои-

vaient еп parler• de «Ши , је vais plu8 loin, il п'у avait

раз , sans aoute , de biblk)thbque proprement dite. S'il

еп faut juger рас се qui se•passe dans d'autra pays de

l'Asie , et par les boutiques de libraires du Caire, d'Is-

pahan et de Constaotinople, сев livres 6taient uns doute

plac6s рае -•m61e , nns division mdthodique , •l'un snr

l'antre, dans си enfoncements m*6s• dans l'6paisseur

murailles, et qui sont les armoires еп Asie. Еп les

plasant sur pied, c6te c5te, dans ип local 6clair6 ,

cet 6talage de richesses litt6raires , dont chez nous les

plus grands seigneurs font vanit6 , et qui rend si сот-

mode rusage des livres , eat moins facilit6 les recher-

ches savantes, qu'6vei116 , et peut-

6tre d6sign6 leur proie d'adroits «soustracteurs. П est

donc plus чие probable que juqu'h pr6sent les reli—

gieux dHchmiAzih пе .conndiss.aient que vaguement

l'importance de lear bibliothbque.

Une ddGarche fut faite par 6crit, аи mois de f6vrier

1853 , par fea М. Clossius, professeut de droit l'uni-

Је n'ai point de notes sur le lieu ой se trouve cette inxrip

боп, qui est еп letu•es capitales. Les noms de „Ebithafn,

chias, Elpis, Daniel Tirer Garikinis, n'ofrent rien de соппв

јичи'\ prbent.

L'autre inu:ription, qui •st thiHtaine, trouve sur ипе clo-

che; elle а ddjb publi& dans le Journl ЛА.ае Мап

465, dans le Balletin Eienti6que, П , et bs les*n.

de l'Acad. Е. вде, е. Sc. м, 316.