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parce qu'il а дадпб роит 19 mille т. de brillantsh ип Fran-
eais, поттб 0rdonn4 qui пе sait ni lire, ni 6crire, ni cal—
culer; il а apport6 роит plus d'un million de bijoux, enLre
auire ип rubis que l'on reconnait роит avoir appartenu la
reine de Frence; оп aflirme maintenanL que се диеих 6tait
ип des gareons d? la garde-robe; il est arr6l6. bt6 hier
la mascarade, depuis 7 jusqu'h 9 heures seulement, etje
те sens pourtanL si fatigu6e que је n'irai pas се matin
аих b6timents de l'Acad6mie. L'on avait dislribu6 10 mille
billets. La сосадпе а cout6 la vie onze personnes; c'est
ипе f6te qui r6pugne mes principes et та sensibilit6;
mais l'Imp6ratrice пе saura jamais la mort de ces onze
personnes, et је suppose qu'aux f6tes des noces оп r6p6—
tera cette f6te barbare. Notre temps 's'est remis аи beau,
mais le matin nous avons de petites g6l6es. Је пе sais qui
т'а envoy6 par la poste de Moscou dans ипе caisse 6
ananas. Ne serait-ce pas vous, топ cher ami? lls sont аг-
riv6s intacts, et ј'еп ai тапдб ип hier еп place de soueer.
Adieu, топ cher frbre. Mes amiti6s mr. La FermibrO.
Је reqois dans се moment ипе lettre de Boutourlin, qui
т'аппопсе son mariage; оп п'еп parle pas. Mais la Apraxine
п'а pas la permission d'6tre pr6sent6e, et Apraxin оНге еп
venLe la maison qu'il а achet6 Sabloukof.
ххху.
(Ноябрь 1793. 0,6.).
Le d6parL de mr. GourieH те donne l'occasion de vous
d6tailler, топ cher ami, les nouveaux d6sagr6ment que је
viens d'essuyer. Аи mois de Juin pass6 le marchand de
livres GlazounoT т'а demand6 la permission d'imprimer
l'Acad6mie ипе trag6die de Княжнинъ qu'il venait d'ache-
ter de ses h6ritiers et qui avait роит titre Вадим Ново-
родсжп. J'ordonnai qu'on l'imprime, et j'oublie de mettre раг
6crit qu'on l'examine; d'ailleurs аисипе id6e de r6pr6hensi-
bilit6 пе pouvait gubres se joindre l'id6e d'une lrag6die.