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Du 18 Janvier 1803. Woronovo.
J'apprends votre retour Londres et је m'empresse de vous
f6liciter sur la tranquillit6 et le repos dont vous allez jouir
dans ип раув qui а tant de titres й votres afection. J'avais
6crit P6tersbourg pour avoir des d6tails sur l'accident qui
vous 6tait arriv6 dans les environs de Francfort, mais ayant
appris que m-r votre frd•re avait еи de уод nouvelles, pass6
cette ville, је те suis tranquillis6. Је continue й vivre se-
lon топ дом dans mes terres. Dans се moment, је suis seul
ici avec тев enfans, та femme 6tant й P6tersbourg роит у voir
sa tunte et ses soeurs. Elle т'а extremement allarm6 avec
la nouvelle de la maladie du comte Alexandre; mais сотте
elle т'а 6crit depuis que Rogerson lui avait аппопсб sa соп-
valescence, j'aime й те persuader que vos inqui6tudes й се
sujet sont 6galement calm6es et que, d'aprbs le plan que vous
m'avez communiqu6, vous reverrez encore се frbre si digne-
ment ch6ri раг vous. J'ai rencontr6 dans quelques soci6t6s
madame votre soeur, et поз disputes пе cessent que роит
recommencer de nouveau; elle а ипе maniiu•e trop partiale
de juger toutes les choses et пе veut pas du tout se persua-
der que le tems par lui-m6me атьпе de nouveaux change-
ments; elle croit toujours etre l'ann6e 62 et пе veut раз
convenir que la meilleure manibre de пе plus tourmenter
de се qui se разве dans le monde, c'est de se persuader que
l'on п'у peut porter аисип rembde et de se tracer ипе sphbre
pour п'еп рад sortir.—Moscou possbde le grand-chancelier des
d6corations, prince kourakine; il veut primer еп donnant des
fetes, bals etc. Son corps est tout couvert de diamants, et П а
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впивъ впявя вороицоп, вв. 84.