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АТЛЧАНВ ПОЛАГАЮТСЯ П ПОТВПИП.
еп longueur pour pouvoir se plaindre de пои et tourner la
chose сотте si поив avions rompu sans attendre leur r6-
ponse, ее c'est avec bien du regret que le secr6taire d'6tat
s'est trouv6 0blig6 de d6clarer de si t0t les sentiments du
cabinet ее d'@tre oblig6 d'6crire • ) qoe l'afaire est rompue.
11 aurait mieux aim6 pouvoir dire que, sans attendre la гб-•
ponse, c'est поив qui avons rompu le trait6; аи moins c'est
се qu'ils anraient persnad6 ici. Quant й се que је r6p6tais аи
ministbre que c'6tait absolument notre ultimatum, cela m'6tait
presorit et раг la lettre du vice-chancelier, et par le rescript
sign6 par l'Imp6ratrice elle-m6me. Еп outre, је savais de
bonne part que monsieur Fitzherbert les berqait ici du
grand cr6dit du prince Potemkine, de son Rle servir
l'Angleterre, et qu'il pourrait раг son тоуеп raccommoder
се que la mauvaise volont6 de notre avait gat6.
lls 6taient si infatu6s de la puissance ее се prince et de son
attachement роит l'Angleterre, qu'ils 6taient presque persuad6s
qu'il renverserait tout pendant le voyage de Cherson. Vous
sentez bien que је n'ai pas os6 6crire ceci dans тез d6-
*hes, mais ј'еп ai marqu6 quelque chose dans mes lettres
particulibres аи comte Bezborodko. Је те souviens que је
lui ai 6crit qu'ils esp6rent ici obtenir par le prince Ро-
temkine се qu'il пе leur а рад r6ussi avec vous, messieurs
les quatre commissaires. Voici donc та justifcation sur сев
deux articles. Si vous пе la trouvez рад sufisante, је m'avoue
fautif, parce que је suis persuad6 que vous entendez beaucoup
mieux les afaires que moi.
Роит revenir notre trait6, је пе vois рав се que поив
avons perdu depuis qu'il est rompu. Les Anglais continuent
d'acheter chez поив сотте par le pass6; ils perdent, parce
qu'ils payent plus de droits,! mais роит поиз c'est 6gal: car
сотте поив n'avons joui d'aucun privi16ge ici, поив restons
сотте поив 6tions. Quant аих Anglais, ils commencent
clabauder contre le gouvernement аи sujet de l'interruption
• ) Въ поддививв вп ве рамрио.