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Southampton, le И A00t 1801.
Је vous remercie роит votre lettre du 20 Juillet dans la-
quelle vous те parlez de votre course Pawlowsk о) vous
avez тепб Michel, et de la bont6 avec laquelle l'Imp6ratrice
а bien voulu traiter се garqon. Је vous remercie d'avoir dit
cette bonne et vertueuse princesse que vous le remettez
entre ses mains. Prot6g6 par elle, il пе peut рад manquer
d'avoir du bonheur dans се nouveau monde ой il vient d'6tre
lanc6. П те parle qu'il а assist6 ип superbe souper que le
comte Sch6r6m6tef а donn6 l'Imp6ratrice-mbre, sans те
dire ой c'6tait. Il n'est раз possible que се soit Pawlowsk,
ear il п'у а раз de raison pour que l'Imp6ratrice allAt вои-
per ehez ип autre dans sa propre demeure, et је пе connais
рад аи comte Scher6m6tef d'autre сатрадпе аих environs
de P6tersbourg que ва belle terre de Воронино, ой j'6tais,
et qui est la plus belle situation dans tout le gouvernement
de St. P6tersbourg; mais c'est 20 verstes аи delA de Gos-
tilitza.—Avez-vous 6t6 Mourino? Qui est се qui demeure
la сатрадпе du feu prince Bezborodko? Qu'est се que cette
сатрадпе de Bacounine ой demeure, се que m'6crit Michel,
notre ami le comte Zawadowskoy?
J'attends avec impatience de vous la continuation de се
qni se fait chez nous sur les afaires internes. C'est le plus
int6ressant pour le pays, car c'est lA ой le та] 6tait port6
й son comble. J'ai la certitude que сед afaires iront bien par
les arrangements qu'on prend pour у rem6dier et parce que
сед arrangements sont c6nfi6s des mains aussi habiles qu'in-
tbgres. Cela те console du chagrin de voir que les “ires
politiques se font hors du Conseil раг ип homme qui п'а аи-
сипе connaissance de воп propre pays, et qu'il соппаП тёте
trbs-peu le seul pays 6tranger ой il а 6t6; mais surtout qu'i
l'ignorance et й l'inexpbrience qu'il fait voir tout moment, il
joint encore ипе pr6somption qui le rendra 6ternellement igno-