ЗАНЯТIЕ ГАННОВЕРА ПРУССИЕЮ.

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је r6pondrai. Је puis vous assurer que tant que је sers, је

saurai le tenir еп rbgle vis-bvis de moi et је lui ferai sen-

tir que је пе suis раз krudner, Mourawiew ои le pauvre Fors-

тапп.

А propos de се premier. Etant requis par le ministbre bri-

tannique de lui faire l'amiti6 de lui donner quelque nouvelle

sur се qui se fait й Berlin par rapport аих afaires d'Ha-

поте, j'ai 6crit krudner роит le prier de m'informer et

j'ai regu роит r6ponse que sa т. le roi de Prusse est

las des tracasseries hanovriennes. Les Prussiens sont

entr6s dans се malheureux 61ectorat, аих d6pens duquel vi-

vent поп seulement les troupes qui l'ont оссирб, mais celles

тёте qui sont dans le voisinage sur le territoire prussien.

L'blectorat поп seulement est 0blig6 de nourrir toutes сед

troupes dans l'61ectorat et dans les environs, mais encore de

payer leurs appointemens, сотте si elles 6taient lev6es exprbs

et пе faisaient рад partie de l'arm6e prussienne; et quand [а

rbgence d'Hanovre se plaint de ces vexations et supplia

d'6tre d61ivr6e de се fardeau insupportable, ses justes r6cla-

mations sont trait6es сотте des tracasseries insupportables

et dont оп est las. krudner adopte cette manibre de voir la

chose et те le r6pbte. Је пе lui ai rien rbpondu cette

lettre, mais quand les pr61iminaires de la paix furent sign6s

анес la France, contre laquelle la Russie pr6tendait garder

l'blectorat, је lui ai 6crit que „j'espere qu'on sera content

Berlin de cette paix qui va d61ivrer la Prusse des tracasse-

ries hanovriennes dont elle 6tait lasse, сотте il avait еи

la bont6 de те le marquer dans son tems“.

Depuis que је vous ai 6crit par le courrier que j'ai ех-

p6di6 Ie 10 de се mois п. 3., j'ai de plus fortes raisons que

jamais d'6tre persuad6 чие nos afaires politiques vont de

mal еп pire et que l'Empereur est indignement tromp6.

Cette lettre vous trouvera votre сатрадпе аи delh de

Moscou; ainsi elle vous arrivera tard. Је l'envoye .notre

ami le comte kotschoubey, еп le priant de l'ouvrir, de la

lire et puis de la recacheter et vous l'envoyer.