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пруссков СВИИЖВНИВ СЪ ФРАНЦ[ВИ.

tit rouleau avec l'estampe de l'archiduc et celle de notre Sou-

verain. Је пе puis plus juger si cette dernibre est ressem-

blante, ayant quitt6 la Russie 11 у а 13 ans et demi. Marquez-

moi si elle l'est encore; је vous еп enverrai plusieurs айп

que vous puissiez еп donner vos amis.

9.

Londres, le Anil п. в. 1797.

Si vous voyez monsieur Rostopchin, је vous prie de lui

t6moigner de l'amiti6. Il пе cesse de те la t6moigner. Се

digne homme, que је n'ai соппи qu'h Londres et auquel је

n'ai ри ofrir qu'une amiti6 st6rile, те sert сотте si nous

6tions li6s depuis 30 ans et сотте s'il m'avait des obliga-

tions extremes.

10.

Londres, le 28 Матв (8 Avril) 1797.

J'6spbre que cette lettre vous trouvera bien portant Мод-

сои avec vos amis de P6tersbourg que vous n'avez pas vus

depuis longtemps et qui vous auront appris beaucoup de пои-

velles tRs-int6ressantes; entre autres les infamies prussien-

поз et leur accord secret avec la France аих d6pens de la

pauvre Allemagne, et que cet accord а 6t6 communiqu6 раг

le roi de Prusse тёте dans ипе lettre toute 6crite de sa

main й l'Empereur. J'ai appris сед d6tails par ипе lettre qu'a

reque le comte Staremberg du comte Cobenzel et раг mylord

Grenville, auquel le chevalier Whitworth lT 6crit еп d6tail.

Le тёте chose fut confirm6e par ипе lettre du ministre de

Dannemark Berlin celui qui est ici de la cour de Со-