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14.
Londres, le 9 Мау п. в. 1797.
Је vois que vous avez 6t6 le 21 Петровсаое ой il у
avait соит et ой vous avez trouv6 beaucoup de monde, quoi-
qu'il п'у ем que les premibres classes qui у ont 6t6 admises.
Је пе suis pas 6tonn6 de cette foule, саг Мовсои doit avoir
dans son sein deux ои trois milles personnes des deux sexes
appartenant la З-те et 4-те classe.
Се que vous те dites sur la manibre dont l'Empereur
s'est expliqu6 avec le comte Bezborodko топ bgard, et par
laquelle j'apprends que Sa М. 1. est contbnte de mes faibles
services, те console infniment et те donne l'esp6rance de
m'attendre й etre mieux traitb que је пе l'ai 6t6 quand les
Матопот et les Zoubof, abusant de la сопйапсе de la d6funte
Imp6ratrice, пе faisaient du bien чи'й leurs parents et cr6a-
tures et desservaient tous сеих qui пе voulaient pas 6tre
leurs bas tlatteurs et courtisans.
Vous те dites aussi que vous avez vu monsieur de
Rostopchin et qu'il vous а beaucoup par16 de moi. Је l'aime
beaucoup et је sais qu'il m'est trbs-attach6; c'est de quoi il
т'а donn6 des preuves. Је suis charm6 d'apprendre que notre
neveu Boutourlin а ипе bonne place. El!e lui convient mieux
qu'aucune autre qui l'aurait 0blig6 d'aller se faire ип. пои-
vel 6tablissement й P6tersbourg, аи lieu qu'h pr6sent il
peut vivre Moscou et peut тёте passer ип temps consi-
d6rable de l'ann6e sur ses terres: саг sa place, n'6tant pas
active, пе demande nullement sa pr6sence continuelle.
Vous avez d6) appris sans doute la malheureuse paix
qu'une n6cessit6 encore plus malheureuse а forc6 l'Autriche
de faire avec la France. C'est ипе chose qu'on devait pr6-
voir: l'Autriche seule est abandonn6e de tout le monde (саг
le реи d'argent que l'Angleterre lui pratait пе sufisait pas);
elle пе pouvait рав lutter contre la France. C'est ипе v6rit6