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c,elui des amis par principe de la Russie, lesquels sont рес-

suad6s, tout сотте moi, que les vrais int6r&ts de la Grande-

Br6tagne se trouvent naturellement et intimement li68 сеик

de la Russie et regardent сотте h6r6sie еп fait de politique

toot avis contraire celui-ci.

Је vous recommande tru-expressement de cultiver l'ami-

ti6 que vous temoignent les ducs de Portland et de Devon-

shire, et d'entretenir avec soin les bonnes dispositions que

m-r Fox vous а t6moign6es avec cette cordialitb et franchise

qui caract6risent les talens sup6rieux de cet homme extra-

ordinaire. Је suis persuadbe que vous n'aurez аисипе peine

le faire convenir de la justice de та cause de

rnes ennemis, et par cons6quent de l'injustjce de mes adver-

saires; tout cegi est trop manifeste et av6r6 роит pouvoir

Echapper des уеих 6clair6s сотте les siens.

Les engagemens ои l'alliance de Georges III аи sujet des

afaires d'Hollande avec lo roy de Prusse, dont il vous а

par16, ont 6t6 communiqu6s toutes les cours et moi

aussi. ll est соппи outre cela qu'il existe• des articles se-

crets entre les deux rois qui n'ont pas 6t6 communiques.

Роит се qui est des afaires d'Hollande, је пе т'еп suis

jamais mel6e qu'une seul fois, et cela encore рат le propre

d6sir et la r6quisition тёте de m-r Fo.x, lequel se sou-

viendra ais6ment que lorsqu'il 6tait secr6taire d'6tat, il s'est

adress6 топ ministre la Науе pour у faire passer des

propositions de paix. Il п'а рад d6pendu assur6ment alors

de та bonne volont6 que le succu п'ауе r6pondu аих d6-

sirs du britannique d'alors. Les int6rets de l'An-

gleterre рат rapport аих afaires de la Hollande et ses liai-

sons et trait68 се sujet avec le roy de Prusse par cons6-

quent n'ont rien qui choque тев int6r6ts dans се

Tout се qui est appr6hender pr6sentement consiste uni-

quement еп се que la Grande-Br6tagne пе .se laisse entratner