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аи sujet des afaires d'Hollande, рат ses engagemens et sous
pr6texte de ses engagemens, dans les vues et projets aussi
difus que maldig6r6s et tout-i-fait chim6riques du cabinet
prussien, dont la vanit6 et l'orgueil insoutenables vont jus-
vouloir dicter des loix аих nations ind6pendantes. Le
roy de Prusse s'6tant 6rig6 еп dictateur еп Hollande, pr€-
tend jouer le тёте r6le patrout, sans 6gard, dis.je, pour
l'ind6pendance des puissances, ni pour leurs engagemens les
plus sacr€s. D6ji le ministbre de Georges IlI, se contentant
d'un r01e secondaire, que l'Europe n'avait pas vu depuis
longtemps l'Angleterre, s'est laissb guider раг les cabales
de la ligue germanique et les pretendus int6r6ts de l'61ecto-
rat d'Hannovre 9t les sous-employ6s de се ayant
ordre d'agir еп conformit6 et d'un intime accord avec соих
de la соит de Berlin, se sont livr6s аих men6es les plus
passionnbes contre moi, l'amie aneienne et naturelle de la
Grande-Br6tagne. T6moin la conduite incendiaire des Ainslye
et Dietz Constantinople, des Elliot et Bork Copenhague;
ceux-qi ont тёте quitt6 1'emploi de rninistre public et de
paix роит courir dans le сатр animer et combattre avec
les ennemis et les infracteurs de la paix et se sont permis
des de guerre et des menaces, auxquelles тёте
ils n'€taient pas autoris6s. Toutes ces funestes trames ont
6t6 ourdies par la t6m6rit6 du comte de Hertzberg, rpinistre
plus p6dant que prudent, еп haine de топ alliance avec
l'Empereur contre les Turcs, qui cependant пе regardait еп
rien l'empire d'Allemagne. Alli6e naturelle et de fait de l'Em-
pereur contre les Turcs, оп т'а regard6 сотте ennemie
de la ligue allemande.
Ici је пе saurais m'emp@cher de faire encore mention de
m-r Harris qui а еи sa bonne part аих iniquitbs trambes
contre moi. Il п'а ja:nais ри oublier deux conversations qu'il
т'а demand€es et ой j'ai еи le malheur de prbdire се qu'il