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rechal M011endorf, avec lequel, топ passag•e par
Berlin l'automne de j'ai causek. .sur les opbrat,ions
de guerre, ои је n'ai fait (1 ие le questionner
роис rec,evoir ses rdponses, que .fenvisaweais, et avec
raison, сотте des axio:nes de l'art de la guerre. ll
т'а dit: les gbnbraux ui sont (Зрои vantbs (le се
чие rennemi veut vous prendre еп flanc.
р то и vent q u'ils
bien voUs а pris (l6ji еп tlan с.
ont реи d'dme et encore moins de sa-
voir: car аи lieu de se retirer, се Ч ие l'ennellli
dbsire, allez droit i,
alors c'est lui q ui
est pris еп На псе, et сот те il пе tten d
pas cette тапоеи v те, il est battu. Се vt{nd-
rable сотрадпоп d'armes (le Fr6dbric.
pa•rla
еп
IIte
(le notre immorte1 Souvoroff. те dit:
sais q и е
(les еп vieux. (les ignorants et des stu pi(les
parlaient de, lui сопмпе «Гип fou heu те П х: lnais
сеих qui savent le nNtier et (1 ui ont (5tudi6 ses
plans de сатрадпе, ses marches. ses (lispositions
d•attaque, son esprit, qu'aucune (liffcultek пе (16-
courageait, sa pers6v6rance, l'alacritb (le ses
vements, ad mireront toujou dans Souvo-
rofT ип des plns g•rands h01nmes (le guerre
aient .itunais рати. Il а еи еп 011tre [е (Га-
(1t6. le premier et le selIl qui а compris la
nature et l'esprit de l'arlneie fra de nos
.јои rs et «l'a v 0ir
trouvb tout de .suite la seule
mani&re. qu'il faut employer contre elle.
Si le mar6chal M0llendortf et)t le conunandement
еп chef de 1'arm6e prussienne, cette lnonarchie aurait
.subsistb; mais le pauvre roi (le Prusse le regardait
соттпе trop адс et tr&s-infbrieur еп соп naissances •et
talents militaires аи (luc (le Brunswick, qui avait
и пе