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Воронцовъ dit qu'il у а ип kellermann qui а 6t6
employb par la France роит etre espion le long du
Rhin. Un courrier est venu de Lieven Pozzo-di-
Borgo, qui apport6 des lettres et des paquets роит
vous que j'ai envoy6s Franck, qui vous les remettra.
из.
Lundi аи soir, le 16 F6vrier 1818.
Је vous dirai се, que j'ai appris chez Pozzo-di-Borgo.
lord РетпЕп•оКе et !noi avons (lin6 aujourd'hui. Le
аис de Wellington, tout le corps diplomatique et le mini-
stre francais 6taient, de la partie. Le premier а теки
ипе r6ponse de lord kinnaird,
auquel il avait 6crit аи
sujet de l'avis qu'il avait donnb аи ch. Murray. Cette
rbponse пе veut rien dire. et il 6vite de nonnner celui
(lui lui parla (lu complot (ltti se trarnait contre le due.
Cette lettre est digne du caractbre mbprisable de се
lord. Се qu'il у а de singulier est qu'on а теки (les
lettres de Lyon et de Grenoble, dans lesquelles il est qaes-
tion d'un соир qul se prbpare Paris contre (les un,s
disent contre les Anglais, (l'autres—contre le duc), се
qui prouve que la ramification est tNs-6tendue. Le
lieutenant-&olonel demi-solde, kellerman est tonjours
аих arr6ts. Оп а des soupwns sur cet homme.
Un des ministres а dit notre. ami le pr. Castelci-
c,ala qu'on а 6crit Bruxelles que non-seulement оп
pardonnera ип des (16tenus convaincu et condamnb,
mais оп accordera la grAce 12, pourvu qu'ils пе
soyent pas du complot contre le duc, si celui qui а
parl6 lord kinnaird peut d6voiler toute la trame