Dicanca, le 23 janvier У. s. 1800.
Le пот чие vous veaez de lire, вои oomtB, ast
de та о) Buis enfin arriv6 depujs huit jburs.L'avant-
.voille de шеп d6part de j'ai reytl la, iBttre pleine
d'amiti6 que vous Bl'avez 6crite lo 10 novembra, eL dopuiB,
toujours par et рат chemins, il ве т'а pas. —ible
de vous еп orrir wes remeroimens J'tssayB (*tatfot ашоие-
d'hui рат l'eutremise de uotre oo»sal У88У, рагсе чае lH
рож de Constantiwpb qui va рат 0Mrior8, —ant рат
Poltava, је pense qu'il у aura рви lNiBt (le dikonce је
voas 6crivais раг Р—д. Је su.is fort соты da пед. —es-
sions ici, ед tant toutefeis que cela regarde l'agr6meIB du
elimat et la beaut6 du lwal; oar d'aileurs les 'егги de
l'Ukraine, les plus rid)€s pe"tre de Ruio, so" odlas
qui rapporteut le moins: les d6bou6h(s maaquent, et
restons riches de producti0lB d'atgent; a•BBi
sant et grand seigneur sur les plaines de Poltava, је n'ai e;tb
qu'un trbpetit particulier sur les bords de la Nbva. Nos terres
sont toutes ое qu'on appelle еп Russie на пашнљ,• mais quelle
pauvre agriculture! Le paysan travaille quinze jours роит lui
et huit роит moi, et се qu'il fait dans ипе semaine, ип bon
ouvrier russe l'e$die da!S Оик 0p6ror и (Жапде-
шеп' cet ordre de Фозеь 0'est im—ible; аш м'пв• faa»
draibil Ьеаисюир de tens, et јв vou avoue чие jb м his
рад agsez de [oad та philosophie ром УOИ8 gamntir
те uru possible de longtems
coutr6e•ci, NNre hyvor trop long, ел j'ai trop de «oisiM,
pour пе рав ln'ennayer la longue. (hux-oi gont terpible*;
*) Поџииникъ “рваи•ь. и слова пропал.