Cela sera pour moi ипе »urabe bien heureuse, eelle о) је

pourrai vous embra8er.

104.

Moscou, le 6 oct. 1801.

Vous apprendrez sans doute, топ cher comte, avec autant

d'6tonnement que ј'еп 6prouve encore moi-m@me, la nouvelle

de та nqmination pour remplacer le c-te Panine. Vous соп-

naissez та r6pugnanw d'entrer dans la carribre diplomatiquem

Elle est si grande, је те sens r60llement si aa-dessous de

l'importance des afairas embrouillbes qui vont m'6tre оопПЫ,

que је n'aurai8 pas balanc6 ип instant de rduser la Naoe que,

ј'оссире, 8i оп т'еп avait fait аи pr6alable la proposition; mais

sans que је т'еп sois dout6 de rien et tnalgr6 que ј'ауе

protest6 sans cesse que је voulais тв vouer аих aTaires

internes, l'Empereur те d6signa succ6der аи 0-•ia de Р. et

d6rangea ainsi tous тв projets. ll serait fort long de vous

dbtailler toutes les oirconstances de ее 0hangemenL Aatant

que j'ai ри т'еп donner ипе raison, il parai' qae le c•te de

Panine, voulant faire tout plier ses id6es, de l'op—

Bition la prt de l'Enperear. Il ев do l'humeur. et

voulut frapper portes. Ипе altorcation avec le

prince de kourakine, аи sujet d'un ordre que Panine lui sigaifia

аи шт de l'Enpereur de prendre seulement connaissana dBS

afaires courantes du d6partement, tandis qae objds

tants seraient sp6cialement athoh6s foncuons, porta

kourakine perter de8 plaintes Wnperur. S. И. B'ayaat

pas donn6 cette extonsion аих ordres «е Ее Ме de Panine

lui avait demand6e, uut devoir faiN justiu аих r6danaii0N

de kourakine permit qu'h. l'iMtar de oe.qui s'6tait

аи tems du c-te ОвИппапп, los conf6nncs eusat iia oh«