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Particulnre.
St. P6tersbourg, le 10 d6c. 1801.
Le d6part d'un courrier anglais те met, топ trbs-cher
oomte, dans le cas de r6pondre la lettre que j'ai rque de
vous par le јеипе Vassiltchikov.
Роит vous mettre d'abord bien аи courant de toat се qui
s'est fait chez nous еп politique, је vous envoye tr—onfi-
dentiellement, et uniquement pour votre usage: 1) la lettre
que le premier consul а 6crite lEmpereut, 2) sa r6ponse,
З) ordres envoy6s аи Не de Razoumovsky et 4) сеих
donn6s аи baron de krudner.
См deux dernibres annexes vont nettement bien аи fait
de tout се qui а rapport аих indemnit6s еп Allemagne. П
est sar que la Prusse veut accaparer le plas qu'elle ращ et
8i la France lui pr0te les maing,. rien пе s'opposera ses
vues. D'un aatre c0t6, l'Autriehe est trop d6raisonnable еп пе
voalant pas se p6n6trer de la position avantageuse de sa
rivale et de la n6cessit6 de пе pas mettre trop d'insistanoe
lui tout refuser. Dans cet 6tat de choses, чие поив reste-t-
il faire? Pr6cher la mod6ration Berlin, prouver la eoar
de Vienne qu'il faut cdder sudoat engager la France, s'il
у а тоуеп, пе pas embrasser le systbme spoliateur de la
Prasse. C'est elle qui, сотте vous le dites fort bien, doit
d&ider du sort de l'Allemagne. Si ROUS поиз rencontrons avec
elle, les choses iront bien; 8i поив dif6rons d'opinions, il п'у
aara rien faire, et il пе поив restera que le regret de пош
Btre m6l6s d'une chose dont peut4tre nous n'aurions jamais
d0 nous embarrasser, et laquelle поив n'entendons rien.
Nous avons maintenant l'air de tenir ип lit de justice. Les
Архивъ Квяза Воронцова XIX.
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