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dire mille .choses tendres de leur ран» Ма Гетте voulait

6crire Catinca, mais la triste nouvelle qu'elle а repue а

contrari6 tous ses projets.

124.

$t. P6tersbourg, le 25 f6vrier 1803.

J'ai repu се soir, топ digne ami, la lettre que vous m'avez

6crite еп date du З (15) de се Је sens combien sont

m6rit6s les •reproches que vous те faites sur топ silence;

mais si је- suis coupable sous rapport-li, је пе le suis nul-

lement quant аих deux commissions dont vous те parlez,

celles dip16me pour m-r Smirnov et du cadeau m-r

Forseith. П у а bien du tems qui j'ai fait remettre la

chancellerie de m-r votre frbre се cadeau, avec ипе lettre ех

oficio, et јр vais •demain prendre des informations sur son

sort. Quan•t аи dip10me, j'ai rendu compte l'Empereur, imm6-

diatement aprbs votre d6part, de la demande de m-r Smirnov.

П т'а ordonn6 de faire passer tous les titres qu'il avait pro-

duits, й la Герольди, апп que, conform6ment l'ordre

6tabli, celle-ci еп fasse son rapport et pr6pare le dip10me. De-

puis се tems-lh, је п'еп ai plus . entendu parler, parce que

vous connaissez la lenteur de tous nos dicastbres. Је ferai

6galement demander des nouvelles de l'afaire аи герольдмей-

стеръ. Voilh donc се qui еп est de vos deux commissions.

Vous т'еп avez donn6 ипе troisibme: c'est celle de те bien

porter. Је n'ai 0as spu la fai;e. Је suis souvent malade, et

lTeure que је vous 6cris тёте j'ai peine repris de mes

nouvelles attaques de таих de t6te.

L'int6rieur, сотте vous l'avez. justement pens6, те donne

beaucoup de besogne; cependant beaucoup moins que је пе

l'ai сги, et quant ипе f0is cela aura pris son pli, j'espbre que

j'aurai encorb moins de besogne occupante.