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d6vou6 l'Autriohe. J'avoue, de vous moi, чие је n'entends

absolument rien ces aTaires d'Allemagne, B'ayant аисип

jurisconsulte pour cette partie, et si је pouvais donner

quelques terres moi pour satisfaire rois et princes

arpenteurs, ј'еп aurai8 fait bien volontiers le surifice.

113.

Le 4 f6vr. 1802.

La f6te d'aujourd'hui пе т'а pas permis, топ cher comte,

ni d'6crire, ni de porter par cons6quent la connaissance de

lTmpereur, ип rescrit que vous devez recevoir sur les

afaires de la r6publique des Sept-Iles unies, et qni devait

accompagner les deux pibces qne је vous envoye ci-joint. Ne

voulant pas manquer l'occasion d'aujourd'hui, j'ai pr6f6r6 vous

faire tenir ces deux pibces par cette voye, еп те r6servant

de vous faire passer le rescrit par la poste, dbs que l'Empe-

reur l'aura sign6. J'ai lu mylord S-t Helens tant l'instruction

аи c-te de Mocenigo, que l'expos6 de la situation actuelle

des lles unies. Cette dernibre sera peut-6tre communi-

qu6e par le c-te de Horkov аи ministbre frangais, et vous

pourrez еп laisser ипе copie mylord Hawkesbury, s'il vous

еп fait la demande. Quant аи resorit servant d'instraction ап

Mocenigo, је пе pense pas qu'il faille le laisser аи

minisWre britannique, et vous ponrriez lui communiquer des

fragmens. Аи reste, ces deux pibces doivent vous servir

d'information pr6alable et апп que vous sachiez quoi r6pondre

анх ministres anglais, еп cas qu'ils vous parlassent de tont

се qu'ils auront rew, sur се chapitre, du lord S-t Helens,

avec lequel j'ai ooul6 la matibre fond.

Adieu, топ digne ami. Је suis exc6d6 de travail, n'ayant

absolument аасип aide. suis plus que jamais еппауб de та

place.