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Paris, се 4 d6c. 1791.

J'esphe чие vous ava repu, monsieur le соф la lettre

qne j'ai еи le plaisir de voas tont deraibrement раг

Stewart. Depuis tans lh il пе s'est раМ rieu de bien

remarquable ici. sinon qu'il у а quelques jours ип jao*in и

6И5 tru jacob&uentent trait6 аи caf6 de Foy. Il eut ипе pdite

dispute аи sujet d'un discours de m-r [snard, l'un des plus

onrag6s des d6put6s de l'Assembl& Nationale. Оп diWrait de

lui daus l'opiniou •tant sur la ревоппв que sar los ехрмМопв

de celui qu'il d6fendait. Le jacobin ста ашх patriotes; il пе

s'en trouva pas. et monsieur fut pri6 de s'en alter bien vite,

асеотрадпб, сотте vous le jugerez bien, avw la pNitesse

qui rbgne dans les endroits de oette espboe. Је vous mande

севе circonstance, qui est assez carieuse, vu l'eret qu'elle aurait

produit il у а ип ап. Aujourd'hui peine еп parle4-on.

Оп croit que le charg6 des afaires de France Stockholm

а dbji quitt6 cette ville. L'ambassadeur de Suue s'attend еп

cons6quence dejour еп jour etre rappel6. ll croyait еп recevoir

l'ordre hier, mais il n'est point arriv6; cependant. il пе doute

pas qu'il пе le reyoive. Је пе sais quel sera le parti qu prendra

иоие coar; les personues qui paraissent 6tre bien iustruitas

du courant des aTaires, croyent qu'il sera oalqu6 sur oelui

la S", ее dont те ficherait biu forL

,Vous savez la manibre de de la сои de аи

6migrants et de leurs projets. I-r de Vaudreuil у а

envoyb par les princes роит chercher c—er la conduite

de c.etb cour. Il s'y c,onduit de la ша[јьге la plus Etrat«e,

s'emporta еп sur l'inex6eaiion de la c,onveution de

Pihitz, et s'ea аИа оотте il .6tait veau.

La lettre de l'hnpbratxioe аи MNchal de Brobie а produit