in—r.dci, et рЮпрЖх l'excb, voulait чие Wus ses

сон— NiaMBt вои lui е' пе fiueut апсипе oppositioa

tout св qu'il lui pluait de proposer. Cette indispa

naturollement la utres minttres et suOat de Bertrand,

ministe de la •arine, homme de oaraetbre et g6n6rale•ent

Ils t&rent de ramener m-r de Narbonee апх

dans *uelles il devait tenir, lorsque sa l$et6 viBt gi-

ter Les avai6Bt concert6 ensemble certaina ше-

sares qu'ils croyaient propres pour faire aller ап реи шош

mal la machine du gouvernement et poar 6viter les ава-

qua de l'Assembl& Najonale. se promirent Ь Дае

m-r de Natbonne alla le тёте jour еп parler ю-ве de ыа.*

qai ев parla ип utre, et la devint asu еоииь Ь

Bertrud fut indign6 d'uae iBdiscrAi0& qui pouvait lB ши-

promdtre tous. П пе c61a рав за naNre de penser cet 6gard

аи Bini“re de la guerre. Depuis ое tems-li les ministres farent

mal entre еих. k-r de Narbonne travailla dbs lors faire wrtir

du Cnnseil toas exoept6 celui de l'int6rieur, qui s'6tait [а

Пп a.sswi6 lai. Deax heures avant le renvpi de E-r de

Narbnne, јв croyais qu'il r&irait dao son proje Је sa-

.vais que le ministre d6 la avait d$ pris dep.i8

qaelque “s la raoluton de donaer sa dbnium, et il у

aait plas r6solu qae jamais la veille. Тош cela nous eV-

geait croire que m-r de Narb. aurait le dessus; mais неп-

dredi matin il eut la fatuit6 de se faire 6crire des lettra par

les trois g6n6raux qui commandent l'arm6e, о) ils le prient de

rester et de leur r6pondre qu'il resterait dans le minisere. Ces

lettres fuant publi6es le 9 da шт; le roi les lu; fut Nqu6

jusqu'au vif et envoya demander sur-le-champ, завз cnsulter

personne, la d6Bission de се miNstre.

Ь de arave, que vous avez соии IMdres, Bt вомб

аи Binisere de la диете. I-r de Bertrand а dou6 за Ш-

mission nalgr6 la pmre que lui avait faite le roi de r*r.