I-r de Simoline Ht parti ava±ier; suivmi son ехетрь
аи commencement du mois prochain.
15.
Райя, се 27 f6vr. 1792.
Le lendemain du joar que j'ai еи, moasieur le comte, le
plaisir de vous 6crire та dernibre lettre, j'ai regu celles dont
vous voulea bien munir pour Bruxelles. Recevez еп mes
rameroiments les plus Је пе sai8 si la prolongation
de шов s6jour ici пе иве fera ра8 rononcer аи voyage dans
les Pays-Bas et пе т'епдаде venir vous trouver le plus t0t
poxible; се parti est sans doute cdui dout la pens6e те fait
le plus de plaisir.
Il ici ите grande st6rilit6 de wuvelles. Оп attend avec,
la plas grande щ»аИепое la r6ponse de l'empereur sar les
explioations qu'on lui а demand6es, шаш је crains bien qu'on
пе [е» attende encore longtems, ll paraTt qu'on пе veut pas se
preser Vienne de faire r6ponse, et је crois тёте qu'on avait
реп“ аи commencement de п'еп faire аисиие. Les trois дёп&
raux commandant les arm6es se sont rbunis dans
Paris depuis deux jours. ns doivent, suivaBt les ив, se сои-
oerter pour les op6rations de la сатрадпе; suivant
leur but еп se rassemblant consiBte principalenent wnvenir.
s'il ast possible, des moyens propres аи r6tablissement de l'ordre
dans l'arm6e. Cette dernibre opinion те paratt d'autant plus
fond6e qae les vertiges pour la guerre bien diminu6 et
qu'on sent l'impossibilitd de la faire,
Еп attendant qu•on saehe quoi il faudra s'en bnir, il est
cmtain que affaires de l'int6rieur du pays VOBt de jour еп
jour еп empirant. Depuis huit dix ,iours les scbnes entre les
Jacobins et сепх (llli пе, les aiment point se sont multipli6es. Deux