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tribunes n'interrompirent d'aucune manibre la lecture du
projat de d6cret ее des pibcns qui у 6taient relatives. Le pr6-
*nt, еп ouvranb la s6ance, observa аих d6put6s fimportance
do la matibre dont ils allaient s'oocuper, et les invi[a donnor
la dignib, l'attontion et l'impartialit6 qui 6taient dues ипе
“ire d'une aussi grande сошёчиепсе. П d6clara аих tribu-
qu'il avait donn6 ordre l'oTcier de garde sur-
le-champ сеих (llli marqueraient par des applaudissements ои
murmures leur approbation ои leur Le dbcret
pasu l'unaninit6. Ов пе sait si [е roi [е sanctiouera, је
exoi8 qu'il pourra 8'у rMuser Ecilement.
Оп attend le ministre de la guerre pour le 8 de mois.
Son rotour dbcidera sans doute dB [а guerre ои de la paix.
Tout le yuple d6sire la guerra et l'on prbtend que les gardes-
паИопаих qui soni sur les froniibres br0lent d'envie de la
o•mnenoer. Је crains que leur feu пе se raleNsse devut les
toupes autrichiennB Les afaires 0Bt bien ahangd de face
d6narche de l'ompereur, et l'6leeteur de Trbves doit
avoir de grandu obliBti0N priBCB Sags lui, Dieu sait
quelles ип 61wbrat n'aurait ри 6t6 охре“
Јв vws souhaib ие bion bonu а— воины le
еп vous suppliant de те conserver avec elle votre amiti6.
13.
Paris, се 26 janv. 1792.
M-r Simoline vous а 60rik је crois, mo:wieur qu'il
а rWu ип оопдб. П partira dans huit й dix jours pour Bru-
xdles. Је compte т'еп aller tjeatot apr&s lui; doate eeFdant
Ьваиооир чие је gse yr'ir avant trois seuiaas ои ип
тов. Jusqu'i pr6sent је n'ai encore rien vu се qu'il у а
de remarquable tant dans ville que les eavirons; il
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