qu'il avait donn6 auprbs de lui Spielmann, cr6ature prtMi-

еппе, elle 6tait еп quelque manibre subordonn6e Lucchesini

et сотр., jusqu'h се que Ie baron Thugut f0t plac6 аи d6-

partement des afaires btrangbres. Реи avant cette 6poque оп

s'6tait d6jh apercu ici do toutes les qu'on avait faites;

le baron de Thugut les d6veloppa davantage. ll nt prendre

аих aTaires ипе autre marche qui, quelque bonne qu'elle p0t

Jre, est venue trop apru соир роит produire ип changement

sensible. Оп recommenc,a se m6Her de la Prusse. Оп пе

prit plus pour argent comptant toutes les belles protestations

qui venaient de sa раж tandis qu'elle travaillait dans l'Empire

et anprbs de l'6lecteur-palatin роит emp6cher l'Autriche de

faire son сопр de la Bavibre, сотте elle еп avait еп la pro-

messe positive; 0nalement, оп а cherch6 tratner l'aocession

la convention faite Pilnitz avec les Prussiens (accession

qui пе fut faite que depuis trbs-peu de tems). Pendant чие

tout cela se passait ainsi, la cour de Berlin manifesta plus

ouvertement sa mauvaise foi dans les op6rations реи actives

dn duc de Brunswick, et оп se convainquit ici que la Prusse

пе se contenterait pas d'avoir emp6bh6 l'6change de la Bavibre,

mais qu'elle faisait tout аи monde pour mettre obstacle toute

acquisition quo voudrait faire l'Autriche. Оп eut еп0п ипе

preuve certaine de cette supposition dans la dernibre demande

qae la Prusse vient de faire. Elle veut avoir 22 millions

d'6cus, r6partis entre l'Angleterre, l'Autriche et l'Empire, pour

la сатрадпе prochaine,. Mais сотте, aprbs avoir tit6 le ter-

rain Londres, оп а vu qu'on в'у r6ussirait pas, оп vondrait

чае tout le poids tombAt sur la cour imp6riale, puisqu'on exige

d'elle ипе garanti6 pour la part des subsides que sa majest6

prussienne veut imposer lEmpire.

Nous nous sommes conduits pendant quelque tems Типе

manibre qui tenait de l'6quivoque. Оп пе r6pondait pas Со-

benzl, оп n'6crivait rien аи comte de Razoumovsky. Les dis-