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cours d'Alopeus, les insinuations ministres prussiens, s'ac-
cordaient tous faire croire que nous sacritierions Vienne
pour les vues per0des de son antagoniste» Оп fut fort inquiet
ici; ов crut pendant quelque tems qu'on пе devait plus compter
sur nous, et c'est alors, је crois, qu'on а fait l'impossible pour
s'unir le plus 6troitement que cela pouvait se faire avec la
cour de Londres. En1in ип courrier arriv6 аи c-te de Raz.
еп septembre, ouvrit le voile qui 6tait tir6 sur toutes nos ас-
tions. Tout еп pressant l'empereur donner son accession
аи partage de la Pologne, nous nous sommes expliqu6s ami-
calement sur пов vues relativement се royaume, qui пе
sont рад fort l'avantage des Prussiens, mais qui tendent
son interit6 pour l'avenir et тёте peut4tre quelque chose
de mieux. Nous avons protest6 de la constance чие nous тек
terions toujours nos liaisons ауес, се pays-ci, et nous avons
dit mille choses qui ont et rassur6 et fait plaisir cette cour-•ci.
C'est celle occasion qu'elle а acc6d6 la convention de
Р. Dernibrement le courrier qui а apport6 топ exp6dition,
а apport6 aussi l'ambassadeur des ordres qui viennent par-
faitement l'appui de cedx qu'il avait reyus pr6c6demmgnL
L'lmp6ratrice envisage dans son vrai jour la conduite du roi
de Prusse. Elle s'explique sur tout avec ипе loyaut6 qui lui
fait honneur et elle а fait faire Berlin des reprbsentations
tendantes faire revenir le roi аих principes qui ont guid6
l'lmp6ratrice dans cette guerre et аих engagemens que le roi
avait pris avec l'empereur. Il пе faut pas beaucoup de tems
pour apprendre le parti qu'on prendra Berliu. Еп attendant,
оп est enchant6 ici de notre conduite. J'espbre qu'on le sora
de тёте chez nous de celle de la cour imp6riale, puisque celle-ci,
quelque tems avant l'arriv6e du courrier, s'est remise entibre-
ment l'arbitrage de l'Imp6ratrice роит се qui regarde les
subsides par la Prusse, et que par се тоуеп поиз