mander votre rappel et que m-r de Talleyrand 1' avait

ассотрадпбе d3une d6p6che sur le тёте sujet. Је

vons ai fait mention que le contenu de cette dernibre

pibce 6tait digne de son auteur et formait ип assem-

blage de mensonges ridicules et atroces. L' histoire de

Fouilloux у а 6t6 reproduite; vous у 6tes accus6 de

partialit6 роит l' Angleterre et d'inimiti6 contre la

France; оп vous reproche de tenir des propos injuri-

еих son gouvernement, de prendre part аих intrigues

de Paris qui sont dirig6es contre lui, vous 6tes d6-

peint сотте le moteur de la guerre pr6sente; et c'est

vous qui avez епдадб lord Withworth пе pas ад-

r6er les propositions franeaises, de quoi cet ambassa-

deur lui-m6me а 6t6 fort scandalis6; enfm, pour сои-

ronner l'oeuvre, оп а la perfldie de vous inculper de

n'avoir ni attachement ni d6vouement роит la personne

de notre Auguste Maitre.

Је vous ai fait part, monsieur le comte, combien Sa

Majest6 Imp6riale avait 6t6 choqu6e de ces inculpa-

tions et combien elle est convaincue de leur faussetb.

Је m'empresse aujourd'hui de r6it6rer votre ех-

cellence l'assurance que les sentimens d'estime et

de bienveillance que l'Empereur а eus toujours pour

elle, loin de changer, п'еп ont 6t6 que plus rafermis

pr6sent et que Sa Majest6 rend pleine et entibre

justice tant votre caractbre personnel qu'& votre

conduite minist6rielle.

La pibce inconcevable que le g6n6ral H6douville а

os6 remettre Sa Majest6 Imp6riale а 6t6 rendue

се ministre рат le prince de Czartoryski, qui lui а

remis еп тёте tems la note verbale dont vous rece-

vrez ci-joint la copie. Је n'ai pas voulu те m6ler de

cet отсе, parce que m-r Talleyrand s'6tait permis de