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Monrepos, се l.r тау v. st. 1816.
Dans la lettre du 4 avril que топ fls т'а fait passer
avec celle j'ai regue hier, j'ai reconnu et votre соп-
stante et vive amiti6 роит топ fils et роит тоу, et
votre fagon de penser juste et droite que је vous ai
toujours соппие; mais aussi le sage, 6loign6 si long-
tems de la cour, et surtout ignorant та situation per-
sonnelle. Је пе puis pas confer аи papier les raisons
qui те persuadent que, content des bonnes dispositions
de l'Empereur роит топ fils, је dois bien те garder.
de vouloir brusquer ипе r6solution еп lui a116guant
mes anciens services. Quant l'Imp.-mbre, elle s'est
fait ипе loi si stricte de пе pas se m@ler des afaires,
que је lui ai vu bien des fois refuser son intercession
des personnes m6ritantes, еп leur assurant qu'elle
la refuseroit son propre fls. Tout се que је puis
те permettre auprbs d'elle et еп cons6quence de la
parfaite confiance qu'elle те permet de mettre еп elle
sur toutes mes propres afaires, c'est de lui exposer
historiquement la situation ой је те trouve par rap-
port топ. fls, еп lui protestant que је те borne
la satisfaction de la lui avoir expos6e, sans 6tre assez
indiscret роит solliciter sa protection. Elle s'en conten-
tera probablement et restera dans l'inaction. Si toute-
fois ип beau zble la transportoit et vfnt 6chouer,
du moins n'auroitpelle pas de reproche те faire.
J'ai ипе chose sur le coeur, dont vous pouvez pro-
bablement те soulager. Је vois рат les lettres de mes
jeunes gens qu'ils пе sont pas fort contents de la та-
nibre dont les traite le chef. Un t6moin oculaire т'а
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