12.

Londres, се 29 aoat 1804.

Permettez qu'en r6ponse аи premier article de votre

lettre que j•ai еи l'honneur de recevoir hier, је т•а-

dresse vous, monsieur le comte, поп сотте топ chef,

mais сотте la personne dont les sentimens invaria-

bles envers топ pbre et сеих envers moi-meme m'in-

vitent m•ouvrir envers elle sans restriction, et m'as-

surent que је parviendrai efacer l'id6e que је crains

que vous n'ayez сопдие de moi еп m'ordonnant de

donner toujours les passeports que le r6v6rend те

demandera. Quand nous accordons des passeports

la suite des recommandations qui nous viennent du

c0t6 des Anglais (сотте les bureaux publics • ici, le

gouverneur de la Compagnie de Russie et quelques

maisons de commerce respectables), il seroit ridicule

moi de те permettre. dans l'absence de votre excel-

lence, de faire le difEcile vis-bvis des personnes re-

command6es роит le тёте objet рат ип Russe, employ6.

рат notre gouvernement et qui depuis nombre (l'ann6es

а poss6d6 votre сопйапсе. Ceci porteroit еп outre

l'empreinte d'une inimiti6 qui n'existe pas de, топ c6t6

vis-h-vis du r6v6rend, ои ип air d'importance. pu6rile

qui n'est pas propre топ caractbre.

Је sens parfaitement, monsieur le comte. combien

ces sortes d'explications sont au-dessous de votre sphbre,

et vraiment il falloit ип cas сотте le pr6sent роит

que j'aie le courage de. vous еп incommoder; mais j'ai

dt l'entreprendre pour та propre justifrcation, et elle

repose principalement sur ип fait que је пе fbrai

simplement qu'indiquer ici. Је sais, поп d'aprbs des