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7.

Richmond, се 8 nov. 1802.

Је doute, monsieur le comte, que vous ayez ss•u

avant votre d6part de P6tersbourg, чие le propribtaire

de votre maison de Southampton пе veut plus la louer.

Cette circonstance а anim6 de nouvelles esp6rances la

communaut6 de Richmond. et entre autres lady Рет-

ln•oke, chez laquelle еи l'honneur (le diner l'autre

jout• Richmond-Pa.rk et qui т'а entretenu avec cha-

leur du d6sir qu'elle а de vous voir 6tabli ici. Il у а

de plus ип heureux hasard, si оп peut l'appeler tel,

qui est que rancienne maison de votre excellence est

de nouveau louer depuis реи, et m-r Dundas veut

те persuader qu'un des devoirs attachbs топ emploi

actuel, est que је mette main sur cette maison jusqu?i

l'urriv6e de votre excellence.

Је quitte cet endroit la ап (le cette semaine, vu

que le parlement doit s'ouvrir d6cid6ment demain еп

huit. Les dix premiers .jours seront employ6s alors

installer les nouveaux membres, mais d'abord aprbs

оп s'occupera d'afTaires importantes, роит lesquelles le

ministre а des lettres circulaires difbrents

membres, еп les invitant пе pas s'a.bsenter alors.

L'ambassadeur francois est arriv6 еп ville avant-

hier, n»is сотте il у а еи ип lever deux jours аи-

paravant, il reste savoir s'il pourra avoir l'audience

du roi avant la semaine prochaine.

Le prince de Castelcicala et sa famille se trouvent

Harrow, ой ils comptent rester jusqu'h la fn de. јап-

vier. Ils sont extr6mement contents de се s6jour, et