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Londres, се 26 octobre 1806.
Dans l'entretien que j'ai еи hier le bonheur d'a•voir
avec m-r Pitt, il т'а expliqu6 que les propositions du
c-te Vassiliev пе sont pas admissibles; qu'on еп а fait
de pareilles dans la dernibre guerre lorsqu'il s'agissait
de subsides, et que d6ji alors оп s'y est refus6 d'ici;
que si toutes les cours auxquelles оп va payer des
subsides allaient adopter leurs propres manibres les
toucher, il еп r6sulterait ип grand embarras pour се
gouvernement-ci; que c'est lui trouver les moyens
d'6tablir роит le continent deux grands d6pOts еп-
suite les dif6rentes arm6es pourront tirer leur argent.
Il т'а pr6venu qu'il avait ordonn6 m-r Huskisson
de те faire passer la copie d'un apereu qu'ils enver-
ront sur се sujet aussi lord Ь. Gower. J'ai теси cette
note, et n'ayant еи encore que le tems de la lire, је
те r6serve la transmettre еп traduction votre ех-
cellence lundi prochain.
Sur l'article de la Turquie m-r Pitt т'а dit que
d'abord, juger des derniers rapports de се quartier,
il п'у avait pas raison de craindre qu'on f0t 0blig6
d'en venir аих extr6mit6s avec les Turcs, et que d'ail-
leurs оп пе pourrait gubres s'obliger ici envoyer ипе
flotte dans l'Archipel, сотте оп le propose de chez
nous, vu que l'Angleterre doit concentrer ses forces
navale•s principalement devant Cadix. Atr sujet des ob-
servations sur le manifeste de Louis XVIII il те dit
que pour le moment il п'еп avait qu'une seule faire
cet 6gard; que selon lui il vaudrait mieux de пе pas