—269 —

Londres, се 4 novembre 1805.

Је те trouvais hier din6 chez l-d Macartney анес

m-r Dutens et ип neveu de mylord ои de mylady, qui

est aide-de-camp de lord Cathcart, lorsqu'on vint аппоп-

сет l'arriv6e de се dernier. Је те suis par cons6quent

rendu chez lui се matin, et j'ai 6t6 assez heureux de

le trouver et de lui remettre votre lettre. Il т'а tbmoi-

gn6 combien il 6tait sensible аи contenu de votre lettre

et combien il se f6licitait de la r6solution que vous

aviez de le voir ayant son d6part. т'а dit qu'il allait

se rendre aujourd'hui pour la premibre fois son 6cole,

et que dbs qu'il pourrait entrevoir le tems de son d6-

part, il 6crirait• votre excellence et т'еп ferait part

aussi. C'est encore le malheureux vent d'est qni l'a

emp6ch6 d'arriver plus t6t.

Un papier de Hollande, arriv6 ici dans la matin6e

d'hier, mit bient0t toute la ville еп mouvement et Et

naitre toute sorte de bruits. Nous еп avions parl6 chez

l-d Macartney; m-r Dutens lui-m@me пе savait encore

rien, lorsqu'en retournant chez moi је rencontrai la

trompette, qui те vendit la demi-feuille ci-jointe, ой

le cher •Tinaes s'empresse de поид annoncer la capitu-

lation d'Ulm. Les papiers d'aujourd'hui la contiennent

6galement, avee des additions tir6es des autres papiers

franyais et hollandais arriv6s depuis hier matin. Тоив

пе font que confrmer, malheureusement, се que поив

avions tout lieu de craindre.

Quant j'ai lu аи Bureau la lettre que mademoiselle

la comtesse т'а fait l'honneur de m'6crire аи пот de

votre excellence, il s'est trouv6 que la commission