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Nos chbres dames russes m'arracheraient les уеих si

elles entendaient les blasphbmes que је prononce.

Је vous ai fait tous сед d6tails, parce que пе sachant

pas si та d6pache се тёте sujet, adress6e аи comte

0sterman, пе sera pas dans le cas d'aller chez sa та-

jest6 1'Empereur, qui sera dans sa tourn6e dans l'int6-

rieur de la Russie, је serais f&ch6 que l'Imp6ratrice пе

pas inform6e des circonstances qui regardent le

prince son frbre, et c'est роит cela qu'en vous les

6crivant, је vous prie de les lui raconter.

7.

Londres, le 11 (22) »ai 1797.

Је sens toute la dblicatesse de votre proc6d6: vous

avez 6t6 l'avocat de та flle et vous пе voulez pas le

paraftre. Quatre postes sont arriv6es, j•ai repu ипе

estafette, ип courrier et ипе quantit6 de lettres depuis

le jour du couronnement, et је n'ai рад еи ипе ligne

de v.otre part: tant vous avez craint de paraftre .d'avoir

traVaill6 роит moi; mais јё п'еп sens que plus quel

point је vous suis redevable. Је n'ai jamais еи le bon-

heur de voir fr6quemment l'Imp6ratrice et d'@tre соп-

пи d'elle, et il у а 14 ans que, vivant hors de та patrie,

s. т. i. а da m'oublier tout-bfait, et si elle а des

bont6s роит moi, је les dois deux amis qui lui ont

donn6 de moi ипе id6e favorable: c'est notre d6funt

ami le bon Lafermibre et vous, топ bon ami, qui је

dois les bont6s de l'Imp6ratrice, et c'est vous seul qui

les entretenez. А pr6sent c'est vous que је те suis

adress6 pour savoir si је. pouvais la supplier аи sujet

de та flle, et vous m'avez encourag6; vous m'avez