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plus de victoire. Il у а еи des corps entiers qui avai-

ent d6jb refus6 de marcher, surtout le corps du c-te

Schouvalow. Swenziany notre soldat а montr6

beaucoup de patience, mais aprbs la retraite de Drissa

et ensuite de Vitepsk il п'у avait plus тоуеп de le

contenir. Се motif 6tait tout aussi puissant que celui

de la formation• des milices роит engager S. М. de

quitter l'arm6e. А Smolensk il у eut presqu'une 6meute

dans le peuple, qui n'est pas capable de concevoir сот-

ment ипе arm6e de hommes se retire sans

соир f6rir, c6dant l'ennemi cinq grandes provinces, et

l'on criait аих Allemands. Jugez quel moment terrible

et embarassant. Nos soldats se battent bien; mais роит

vainOre l'ennemi il faut les mener аи combat. Dieu

garde de se retirer, et роит реи que cela continuAt, оп

se serait battu sans ordre et sans chef, et l'on serait

battu соир s0r. Telle 6tait тёте l'opinion de tous

nos g6n6raux, lorsqu'on est venu discuter l'opinion du

prussien Phuhl et du prince d'Oldenbourg, pour conti-

пиет la retraite plus loin. Tous se sont r6volt6s d'in-

dignation, et il faut rendre justice que tous nos divi-

sionnaires et commandants de corps sont des person-

nes du plus grand m6rite, et sans contredit l'ennemi

п'а rien leur comparer. C'est bien malheureux qu'il

у manque ипе seule t6te capable de touf mener.

Le с. koutouzow paraft 6tre le seul, qui оп pour-

rait сопйет l'arm6e, mais оп пе Veut рад l'employer

auh•ement que роит commander les milices, et роит ва

сатрадпе de Turquie et la paix qui s'en suivit оп ма

lui accorder le titre de prince, роит пе pas 16 faire та-

r6chal. Еп efet, la proposition lui а 6t6 faite s'il voulait

que sa femme eat le portrait, ои bien qu'il soit cr66

prince. П r6pondit qu'il accepterait le dernier, parce que