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St.•P6tersbourg, [е 4 sept. 1821.

Il п'у а pas, аи moins pour le moment, аисипе per-

spective de guerre, et les Turcs semblent assez port6s

rendre la r6paration aussi complbte que cela leur

est possible. Cependant, је doute que les afaires res-

tent аи point ой blles sont dans се moment; c'est се

que le printems fera voir plus clairement. Оп пе peut

gubres douter des dispositions pacifques de l'Emp-r, et

се qui doit еп convaincre, тёте• les incr6dules, c'est

la d6cision de пе point demander de recrues cette

аппёе. S'il est vrai aussi qu'en cas de guerre l'on еп

demanderait la double proportipn l'ann6e prochaine,

аи moins, c'est ипе preuve concluante роит le то-

ment qu'on пе fait аисип pr6paratif роит ипе pareille

issue. Qnoiqu'il еп soit, il est impossible de se faire

l'id6e que cette guerre soit 6vit6e plus tard; car,

moins d'un secours 6tranger, il n'est gubres probable

que les Turcs soient еп mesure de soumettre les Grecs.

От, la Russie пе peut pas moralement aider les рте-

miers, et toute autre puissance, qui voudrait s'en m@ler,

allumerait la guerre immanquablement. L'Autriche sur-

tout travaille emp@cher la rupture; mais еп g6n6ral

l'opinion publique chez nous se prononce hautement

contre l'influence de се cabinet, malgr6 les manibres

insinuantes et le tact plein de fnesse la plus adroite

de son envoy6 Lebtzeltern. Bien des personnes crient

аи scandale de l'intimit6 dans laquelle il vit avec nos