il пе pourrait тёте la vendre perte; autant vaut-
il la conserver par 6conomie que par sentiment reli-
gieux et flial.
161.
А Czarsko-SClo, le З juillet 1822.
Etant еп ville vendredi pass6, j'allais 6crire votre
excellence le soir, lorsque j'ai теси le message du c-te
Michel, qui venait d'arriver. Cette agr6able surprise
m'arr@ta, et j'ai еи la satisfaction de passer ипе partie
de la soir6e chez lui avant que de partir роит Czarsko-
S610, remettant la poste de demain та lettre роит
votre excellence. C'est la veille de son arriv6e que
j'avais reeu la lettre роит m'annoncer son d6part; et
son apparition le lendemain 6tait ипе v6ritable sur-
prise, puisque је пе l'attendais que 2 jours plus tard.
Је suis bien charm6 qu'il ait fait cette course; outre
qu'il а еи lieu d'6tre content de la r6ception qu'on lui
а faite, il а trouv6 ici еп тёте tems son chef, le c-te
Sacken. Ainsi, аи lieu de rester pendant quelque tems
dans ип 6tat d'incertitude toujours d6sagr6able, il
saura d'abord quoi s'en tenir, faisant еп тёте tems
d'une pierre deux coups. C'est samedi qu'il s'est ап-
попсб ici par ипе lettre аи prince Wolkonsky que је
lui ai remise le matin, et hier, dimanche, il а еи l'in-
vitation diner chez l'Emp-r, et le soir il а fait sa
cour l'imp6ratrice - тёте Pawlowsk. Il а еи la
bont6 de s'arr6ter chez moi еп allant Pawlovsk et
puis еп retournant еп ville. Сотте aujourd'hui 6tait
топ jour de travail chez S. М., c'est demain que j'irai
passer la journ6e avec lui еп ville ои тёте hla сат-