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U ОЕ U СОЛ RUSSlE А wS DES PUlS-
SANCES ETRANGERES.
1748.
Afaires de la соит de Иеппе.
La cour de Vienne est actubllement la cour favorite.
Il п'еп 6tait pas de тёте аи commencement du rbgne
de l'Imp6ratrice; l'alliance 6troite qui unit cette cour
avec la maison de Brunsvic, et l'int6r6t qu'elle avait
la soutenir, пе p0uvait que la rendre suspecte ипе
Princesse qui avait 6lev6 son tr0ne sur les d6bris de
cette тёте maison. Бе chancelier, d6vou6 depuis long-
tems аих int6rets de la cour de Vienne, avait des rai-
sons particulibres роит lui vouloir du bien; sa haine
pour la France, qui voulait le culbuter, lui ft envi-
sager la cause de la maison d'Autriche сотте la sien-
пе propre, et celle-ci, int6ress6e mettre la Russie dans
ses int6r6ts, n'oublia rien роит con6rmer le premier
ministre dans ces dispositions favorables.
Afaires d'Anglderrc. 1748.
La cour d'Angleterre оссире le second rang dans
l'estime du chancelier. L'objet du commerce forme ипе
liaison toute naturelle entre cette соит et celie de Rus-
sie; mais се тёте objet occasionne aussi des discus-
sions et des chicanes.