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ministres de Subde, et que malheureusement il s'est
t.rouv6. sans чие personne de la compagnie l'ait деи
qu•apNs сопр, que c'est еп arrivant аи dernier de ces
repas que le dit comte а. fait arreter се soldat d6guis6
qui l'espionnait.
4.
St.-P6tersbonrg, le 30 novembre 1748.
Quant аи c-te de l'Estocq, j'ai appris depuis qu'il
п•а, pas encore 6t6 transport6, сотте оп ravait d6bit6,
mais qu'il est toujours dans sa maison. L'inquisiteur
Schouwalow, qui est tout fait dans les int6r6ts du
chancelier, а partag6 avec le g6n6ral Apraxine le plaisir
de lui аппопсет son malheur. Quand il les а vus entrer,
il doit leur avoir demand6 се qu'ils voulaient de lui,
ajoutant qu'il savait qu'on avait r6solu de le perdre,
mais qu'on п'у rbussirait pa.s. Оп lui а montr6 lbdes-
sus des lettres, qtfil а ni6 Иге de lui. Voilh реи
prbs tout се qu'on еп sait.
5.
S.•P6tersbourg, le З d6cembre 1748.
Le comte de. l'Estocq а 6t6 transport6 la nuit de
jeudi аи vendredi [а fort.eresse, се qui fait voir que
son araire tourne fort mal et qu•elle prend le grand
chemin de la Sib6rie. Une circonstance a.ssez remar-
quable, c'est que sa femme и. 6t6 transport6e avec lui,
preuve qu'elle est impliqu6e, dans le crime qu'on lui
suppose, et cette derni&re particularit6 те ferait quasi
soupyonner qu'elle а troRv6 тоуеп d'entretenir quelqne
correspondance secrt>te uvec sa soeur et avec la fa-
mille inrortun6e. Le capitaine Chapizeau doit avoir
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Архивъ Князи Вороицова ХХ\'.