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сот1,е est toujours, й, се qu'on dit, la forteresse.
Сотте les commissaires se disposent cependant de
partir роит Moscou, il у а арратепсе чие le crimi-
nel у sera. transport6 aussi, moins que l'Imp6ratrice
n'ait pris la r6solution de l'envoyer tout de suite еп
Sib6rie et d•assoupir son afaire. Оп assure qu'il п'у а
rien la charge, de la tbmme, et чи•оп lui permettra de
retourner auprbs de sa тёте, еп Livonie, mais c'est ипе
circonstance qui пе те paraft раз conforme аих та-
ximes rnssiennes, et que j•ai peine croire. Је suis per-
suad6, аи reste, que la cour de Vienne а еи eonnais-
sance de tout ceci, et qu'elle travaille plus que jamais
аи r6tablissement de la famille infortun6e.
L'Imp6ratrice de Russie а donn6 аи g6n6rt)l Арта-
xine la belle maison du c-te de l'Estocq, avec tous les
meubles qui у 6taient restbs; саг оп еп avait d6jh
emport6 les erets les plus pr6cieux (lbs le lendemain
de son arr6t, et c'est la соит qui s'en est saisie.
10.
S..P6terRbourg, le 31 d6combro 1748.
Le c-te de l'Estocq est toujours la forteresse, et le
g6n6ral Apraxine est parti avant-hier; ainsi је suppose
que cette afaire pourrait dormir pendant qnelque tems.
Оп assure, аи reste, чие le dit comte persiste tou.jour•s
пе vouloir rien avouer, d6clarant cependant qu'il
6tait pret de donner tous les 6claircissemens que l'Imp6-
ratrice peut d6sirer de lui, si elle veut le faire сотра-
raitre devant elle.
11.
P6tersbourg, le 30 janvier 1749.
Les partieularit$s concernant l'afTaire du malhenreux
c-te de l'Estocq пе те laissent pas ип moment douter