—192 —
tre еп ordre, се dont је m'acquittai avec d'autant plus
de zble que је regardais cet ouvrage сотте ип de—
voir de та place que j'aurais d6sir6 remplir depuis
longtemps. Votre excellence daigna те charger dans
le тёте temps, la fm de l'ann6e 1785, de r6diger
d'aprbs ses instructions les projets de quelques trait6s
(le commerce entam6s alors avec les cours de Роми-
gal, de France, d'Angleterre et de Naples, се qui те
ft le plus grand plaisir regardant de tels ouvrages
сотте ип titre, que votre excellence daignait те pro—
cnrer la demande que је faisais d'entrer аи bureau
des afaires 6trangbres et сотте ип droit que j'acqu6-
rais аих gratifcations d'usage роит la confection de
ces trait6s. L'approbation dont Sa Majest6 Imp6riale
honora les sus-dits projets releva encore mes esp6-
rances.
Votre excellence m'ayant аппопсб топ prochain
d6part аи printemps de l'ann6e dernibre, је pris la
libert6 de lui r6it6rer •dans les memes termes la de-
mande ci-dessus exprim6e аи sujet du collbge des 8.f-
faires 6tra.ngbres. Elle eut la bont6 d'en parler топ
chef et de те dire que son excellence 6tait d6cid6e
m'accorder та. demande, que је pouvais l'all6guer
mes parents сотте ипе chose faite (се que је leur
ai efectivement dit) et топ retour cela serait
ex6(tut6. J'engageai та parole d'honneur votre ех-
cellence que quelles que fussent les dispositions, ofres
et instances de mes parents, је serais de retour ici аи
temps 6х6. et votre, excellence те remplit de la plus
complbte confance еп m'engageant la sienne, que si
d'aprbs leurs 0fTres је voulais те retirer, cela те se-
rait accord6 sans аисип retard. Plein de ces esp6ran—
ces 6quivalentes mes уеих ипе certitude, је partis